1. |
VOYAGE DANS L'ACCIDENT
07:01
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Tu sers les virages dans l’espoir,
De vider tout ton réservoir.
T’es comme un mirage dans l’espoir, Avec ta lame et ton rasoir.
Oh oui tu te sens puissant,
Oh oui tu te sens différent. Sans aucunes limtes de temps, T’es qu’un garçon nonchalant.
Tu te jettes sous cette pluie ne, Sur ces re ets anonymes.
Tu es ta propre vicitme.
Tu es séduit par ces lignes.
J’aime pas quand t’es comme ça, Ton regard vide d’hopital,
Un boulevard monumental,
Un voyage sans escale.
Tu voles, tu voles,
Sous l’autoroute,
Tu te casses la geuele,
Oh non c’est pas de bol (x2)
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2. |
CAPU
06:07
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3. |
ENVIE
09:01
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Je te l’avais dit la première nuit (x4).
Je te l’avais dit la première nuit, C’était un appel une offre de vie,
Tu t’es deshabillée pour me séduire.
Je te l’avais dit cette première nuit,
En crise en folie, une schizophrénie,
Ne tarderait pas, ne tarderait pas à eurir.
Petit à petit tu m’as guérie,
Petit à petit tu m’as meurtrie,
Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis, M’ouvrir, m’enfuir ça me fait bien sourire.
Je n’ai plus le temps, j’ai comme une envie. Je suis impatient, j’ai comme une envie.
Mais pourquoi ça, pourquoi moi ? Je ne veux plus me maquiller,
Je ne veux plus me déshabiller. Et pourquoi pas, pourquoi toi ? Je ne veux plus me maquiller,
Je ne veux plus me déshabiller.
Alors (x6),
Est-ce que c’est le bon choix ? Est-ce que c’est le bon doigt ? Est-ce que tu t’en aperçois ? Est-ce qu’on est pas maladroit ?
Alors (x6),
C’est comme une histoire montée à l’envers, C’est comme une histoire foutue de travers, C’est comme une histoire montée à l’envers, C’est comme une histoire foutue de travers.
J’ai l’illusion d’entendre un frisson,
J’ai l’impression que c’est du poison,
J’ai l’infraction de tes mamelons,
J’ai l’intuition et l’impulsion à califourchon.
Oh garçon oui tu aimes la passion,
Oh garçon quand elle défait son chignon !
Oh garçon tu sens cette exaltation ?
Prends ton inspiration et déchire moi ce caleçon !
Bidon, guidon, pardon, gazon, baston, poumon.
Leçon, hameçon, rançon, glaçon, soupçon, façon. Coalitaion, annulation, copulation,
Complication, imperfection, excitation, TRANSPIRATION.
C’est comme une histoire montée à l’envers, C’est comme une histoire foutue de travers, C’est comme une histoire montée à l’envers, C’est comme une histoire foutue de travers.
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4. |
MORPHÉE
03:54
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Quand je marche sur la pointe des pieds,
J’ai bien l’impression que tu n’es pas réveillée, Je vais m’égarer dans cette fumée,
Je vais m’enfoncer dans ce canapé.
Je comprends mal ce ot de pensées, C’est comme si je voulais me martyriser, En bien en mal j’me sens cadenasser, C’est pas normal j’étais le gendre idéal.
J’en ai ma claque de toutes ces arnaques, La vérité je voulais l’embrasser,
Je voue mon sang à l’éternité,
Je suis le sorcier de l’obsurité.
OH MORPHÉE (x4)
J’aime ces moments de vanité, J’laisse ces instants, se succèder, J’aime sous entendre et murmurer, J’adresse ces vers au beau Morphée, Oh oui dis moi, oh oui pourquoi ?
Je ferais ça, oh oui pour toi ? OH MORPHÉE (x4)
Tu commences toujours par me caresser,
Puis tu me laisses regarder le temps passer,
Tu connais par coeur tous mes grains de beauté, Puis le moment venu tu ne veux plus eurter.
Avec toi j’ai perdu toute ma erté, Impétuosité pousséé à l’excès,
Tu t’es familiarisée avec toutes mes pensées, Tu as spiritualisée ma virginité.
OH MORPHÉE (x8...)
J’aime ces moments de vanité, J’laisse ces instants, se succèder, J’aime sous entendre et murmurer, J’adresse ces vers au beau Morphée, Oh oui dis moi, oh oui pourquoi ?
Je ferais ça, oh oui pour toi ?
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5. |
LE BRUIT DU SERPENT
07:08
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Le bruit du serpent dans le sable. Le bruit du serpent sur ton cou. Le bruit du serpent dans le sable. Le bruit du serpent sur ton cou.
Le bruit du serpent dans le sable. C’est fou comme ça me détruit. Le bruit du serpent sur ton cou. De passer toutes ces nuits.
Le bruit du serpent dans le sable. A ne plus pouvoir dormir.
Le bruit du serpent sur ton cou. J’ai besoin de te sentir.
Evidemment que je veux jouir,
De ton bonheur et de tes sourires. Evidemment que je veux fuir.
Je suis le prisonnier de tes griffes.
Le bruit du serpent dans le sable. Le bruit du serpent sur ton cou. Le bruit du serpent dans le sable. Le bruit du serpent sur ton cou.
L’odeur de l’eau qui se retire. L’odeur de l’eau qui se ravive. L’odeur de l’eau qui se retire. L’odeur de l’eau qui se ravive.
Quand tu parles avec moi,
Tu as diffèrentes voix.
Celles qui m’aiment, celles qui m’ensorcelent. Quand tu danses avec moi,
Tes diffèrents pas,
Tu bouges tes hanches avec arrogance.
C’est fou comme ça me détruit. De passer toutes ces nuits.
A ne plus pouvoir dormir.
A ne plus pouvoir dormir.
J’ai besoin de te sentir.
Le bruit du serpent dans le sable. J’ai besoin de te sentir.
Le bruit du serpent sur ton cou. J’ai besoin de te sentir. (X4)
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6. |
INCONNU
06:57
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L’inconnue de la rue Maupassant, A l’air charmante sous sa jupe, L’inconnue de la rue, a l’air rude, L’inconnue, a l’air vide.
Elle bouscule les regards, Effraye les taulards,
Elle snobe les fêtards,
Elle ne veut pas de rencards.
Alors pourquoi, pourquoi est-elle comme ça ? Alors pourquoi, pourquoi broie-t-elle du noir ?
L’inconnue de la rue Maupassant, A l’air charmante sous sa jupe, L’inconnue de la rue, a l’air rude, L’inconnue, a l’air vide.
Ni toi, ni moi, ni lui, n’étaient comme elle. Ni toi, ni moi, ni lui, n’étaient pareils. J’étais désespéré, quel monde cruel. J’étais désorienté, quelle vie de rêve.
Alors pourquoi, pourquoi est-elle comme ça ? Alors pourquoi, pourquoi broie-t-elle du noir ?
L’inconnue de la rue Maupassant, A l’air charmante sous sa jupe, L’inconnue de la rue, a l’air rude, L’inconnue, a l’air vide.
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